. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . DOHA 2012
Nous épargnerons-nous le « Doha d’honneur » de notre fameux titreur quotidien parisien, ou le rappel de la non moins fameuse – et toujours actuelle- sentence de Georges Bush en 2001 « je n’appliquerai pas un texte qui met en péril l’économie américaine » quant à ratifier le Protocole de Kyoto ? ou regarderons-nous l’incroyable mais vrai Costa Rica aujourd’hui avec ses 96 % d’énergie produite par les énergies renouvelables ? Entre les deux, oui, le lent et sûr travail d’érosion de la couche d’ozone, avec conjointement tous les chamboulements qui se manifestent sur terre et sur mer, mais par ailleurs, l’opiniâtre travail de groupes de scientifiques et les actions d’associations et simplement quotidiennes de nous tous.
Protocole de Kyoto, 1997 : ratifié par 168 pays en 2010 (sauf Chine, japon, Canada, Nouvelle-Zélande, et Etats-Unis), ce traité des Nations Unies, le Protocole de Kyoto, visait à réduire entre 2008 et 2012 de 5,2 % par rapport au niveau de 1990, les émissions de six gaz à effet de serre.
Les six gaz à effet de serre : le fameux CO2 (dioxyde de carbone) qui n’est pas le moindre à côté du méthane (CH4) produit principalement par l’agriculture, le protoxyde d’azote et trois substituts des chlorofluorocarbones (CFCs), qui se trouvent dans les réfrigérateurs, extincteurs, aérosols, qui sont les vais méchants des temps modernes.